jeudi 27 février 2020

Juste une balle perdue de Joseph d'Anvers


Un zeste de "Moins que Zéro" de Breat Easton Ellis, avec des piscines et de la dope, un scénario à la Luc Besson avec ses personnages taillés à la serpe, un final dans un décor à la Philippe Djian  de " 37°2 le matin", secouez bien et vous obtenez ce roman pas désagréable à lire, mais qui manque sérieusement d'originalité. On le réservera à ceux qui aiment les films du réalisateur cité plus haut mais pas à ceux qui ont lu les auteurs également nommés au début. Signalons aussi une thématique supplémentaire : l'enfance difficile avec un père violent... qui va finir, à force d'emploi quasi systématique dans beaucoup de romans actuels, par devenir une véritable tarte à la crème romanesque !

🔆🔆/5

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