Un énorme coup de Church's ( oui Constance Debré pourrait porter des Doc ou des santiags, mais ce sont des Church's qui la chaussent ) dans la bien pensance actuelle ( à l'image de son premier roman), couplé avec un portrait de mère qui ne laisse pas indifférent. C'est mieux que Christine Angot dont elle reprend l'écrit à l'os mais auquel elle ajoute un vrai sens du rythme et un discours politique et mieux que les dernières productions ( sous Subutex sans doute) de Virginie Despentes à qui on pense forcément. Un livre intime qui bouscule le lecteur, ça fait du bien !
🔆🔆🔆🔆🔆/5
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire